Crédit Agricole Nord de France

Le Crédit Agricole Nord de France : Agir chaque jour dans l’intérêt de nos clients et de la société

Banque leader du Nord et du Pas-de-Calais, le Crédit Agricole Nord de France sert au quotidien plus d’un million de clients dans tous les métiers de la banque de proximité : épargne, financement, assurance et immobilier. Banque du territoire, elle accompagne l’ensemble des transitions -environnementales, sociales, alimentaires et numériques- de la société. Elle construit et démontre son utilité en s’appuyant sur le maillage de son territoire, en capacité de déployer son soutien au plus près des projets. Le Crédit Agricole est un acteur reconnu pour sa politique de mécénat territorial. Avec sa Fondation, il mène de nombreuses actions d’inclusion sociale et d’accès à l’éducation pour les enfants des quartiers prioritaires ou zones rurales délaissées. Le programme  « Le Sport comme école de la vie » est une de ses priorités vis-à-vis des jeunes.


Groupe ADDAP 13

L’association Groupe ADDAP 13 développe depuis 1987 des actions de prévention dans le département des Bouches du Rhône. Elle a pour missions :
- entrer en lien avec les jeunes dans leur lieu de vie,
- mener des accompagnements éducatifs pour prévenir et réduire les risques de marginalisation sociales, 
- établir les liens entre les jeunes, les familles et les institutions de droit commun, 
- élaborer des diagnostics continus des territoires d’implantation et y impulser des dynamiques positives, en s’appuyant sur les potentialités locales.
 
Éducateurs spécialisés et sportifs mettent en œuvre ces missions socio-éducatives et socio-sportives. 
Le groupe ADDAP 13 a toujours cru au sport vecteur de socialisation et d’insertion sociale.
Rejoindre l’Association nationale de prévention sociale du sport (ANPSS) lui parait aujourd’hui comme une évidence, tant sur le plan organisationnel que sur le plan de mise en œuvre de projets sur les territoires.
Toute leur actualité à retrouver sur leur site : https://www.addap13.org/

Tribune : Reconstruire le sport par un grand plan pour la jeunesse

Reconstruire le sport par un grand plan pour la jeunesse

La crise sanitaire place le sport amateur dans une situation pleine d’incertitude, qui peut menacer l’avenir de ces pratiques et dans laquelle le nombre de licenciés risque de chuter fortement. La crise a fait apparaitre les faibles ressources dans des secteurs prioritaires comme la santé, l’accompagnement des publics fragilisés, et le soutien à la jeunesse où le sport est en première ligne.

À quelques jours des élections municipales, les maires sont quasi unanimes sur les bienfaits des pratiques du sport amateur sur la formation des jeunes. En effet, le sport est bien plus qu’un espace de compétition, c’est avant tout un acteur majeur de l’éducation des jeunes des territoires ruraux et urbains. Le sport développe des savoir-être indispensables de la vie des personnes, comme le fait de savoir vivre avec des personnes différentes de soi, ce qui peut protéger contre le racisme, de créer du lien collectif avec d’autres personnes, ou encore de savoir se fixer des objectifs. Oui, le sport ne sert pas qu’à faire des champions, il peut demain être un espace de recrutement hors norme pour les entreprises françaises.

Hélas, depuis plusieurs décennies, le sport amateur connait des difficultés considérables : baisse significative des emplois aidés en 2017 (plus de 50 000 emplois disparus dans le sport amateur), fragilité et précarité des emplois d’éducateur sportif notamment dans les territoires difficiles (urbains et ruraux), faible reconnaissance des acteurs de l’ombre fortement engagés (éducateurs et bénévoles), renvoi d’une partie de la taxe Buffet dans les caisses de Bercy, éloignement du sport professionnel et des pratiques amateur….

Un grand projet populaire pour la jeunesse par le sport.

Les principaux acteurs du sport (villes, fédérations, associations, entreprises) ont souhaité se regrouper pour lancer l’association nationale de la performance sociale du sport*, avec le soutien actif de la ministre des Sports et de l’Agence nationale du sport ; avec pour dessein de créer une grande dynamique d’inclusion des jeunes par le sport et ainsi donner une vision nouvelle aux pratiques sportives.

Les pratiques sportives amateurs sont des plus innovantes dans le pays. La Fédération Française de Voile lance par exemple un programme inédit d’insertion des jeunes dans les clubs de voile et dans l’industrie nautique. Quatre acteurs associatifs à Mulhouse, Strasbourg, Torcy et Roubaix développeront des parcours pour des jeunes sortis du système scolaire prématurément pour les accompagner vers l’emploi. Ces deux projets sont lauréats du plan d’investissements des compétences lancé par le ministère du Travail où plus de 20 millions d’euros sont investis dans des projets qui reconnaissent la capacité du sport à insérer des jeunes faiblement diplômés. Le ministère de la Ville a lui aussi financé massivement de nombreux projets locaux d’éducation et d’insertion des
jeunes dans les quartiers prioritaires.

C’est sans doute sur la formation et les nouveaux métiers que le potentiel est le plus important, et notamment dans la formation de l’élite du sport de demain par l’apprentissage. La récente réforme de l’apprentissage a ainsi permis au Comité d’Organisation de la Coupe du monde de rugby 2023 de créer son propre Centre de Formation des Apprentis. Dès septembre, il permettra le recrutement de 2023 jeunes âgés de 18 à 29 ans qui obtiendront à l’issue d’une formation pratique et théorique un diplôme de niveau BAC, BAC+3 ou BAC+5. Durant leur cursus, ils aideront les clubs amateurs de rugby mais aussi d’autres sports à se structurer. Leur expérience se conclura par la participation à la livraison du 3e événement sportif mondial qu’est la Coupe du monde de rugby.

Des programmes comme celui de l’Agence pour l’éducation par le sport, qui vient d’insérer plus de 300 jeunes dans les secteurs bancaire et de la santé, témoignent là aussi d’un potentiel important des pratiques sportives dans l’inclusion.

Cette grande dynamique nationale que nous mettons en place doit prendre ancrage sur les territoires avec les élus, les associations mais aussi les entreprises, qui dans le cadre de la RSE pourront demain soutenir plus fortement les clubs locaux. Ces derniers sont en capacité de jouer un rôle important dans le repérage des jeunes et dans l’accompagnement dans l’entreprise.

Pour un plan pour la jeunesse par le sport

Afin de s’engager collectivement dans un grand plan pour la jeunesse, plusieurs propositions sont à mettre en œuvre autour d’un pacte de la performance sociale du sport, qui sera présenté à la mi-juillet :

  • Les villes doivent s’engager sur la prochaine mandature en identifiant demain des services d’insertion par le sport, afin de mieux soutenir les clubs qui s’engagent dans ces projets innovants et dans le but de modifier les ressources des clubs en leur permettant de devenir des acteurs de l’économie sociale et solidaire et de moins dépendre des finances publiques. De nombreuses villes ont déjà commencé, à Roubaix, Arras, Hérouville-Saint-Clair, Chanteloup-les-Vignes, Montceau-les-Mines, Calais, Allonnes….
  • Les grands évènements sportifs français, comme le Tour de France, Roland Garros, ou encore les championnats de football ou de rugby professionnels, doivent innover et soutenir plus largement les pratiques amateurs à l’instar de la coupe du monde de rugby, qui va embaucher 2023 apprentis et les former pour diriger demain les clubs sportifs.
  • Les fédérations sportives doivent s’engager demain pour des plans de performance sociale en lien avec leurs clubs, où le potentiel est considérable. Le projet de la fédération française de voile « La mer est à vous » à destination des jeunes sans diplômes fera date pour d’autres fédérations.
  • Enfin, la performance sociale du sport doit se doter d’un outil ambitieux, le premier « fonds d’innovation sociale par le sport » pour accompagner localement les 100 bonnes pratiques sur ce sujet. L’ensemble des acteurs du monde sportif et économique sera mobilisé pour abonder ce fonds qui fera évoluer les bons projets.

*Le 10 juin l’association nationale de la performance sociale du sport est créée. Elle mobilise les acteurs fédéraux, les villes, les entreprises et les associations souhaitant créer une grande dynamique collective autour de l’inclusion et de l’éducation des jeunes par le sport.

Liste des signataires.
Jean-Philippe Acensi, président de l’APELS ; Catherine Arenou, maire de Chanteloup-les-Vignes, première vice-présidente de la Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise, vice-présidente du conseil départemental des Yvelines ; Claude Atcher, directeur général de la Coupe du Monde de Rugby France 2023 ; Nadia Bellaoui, secrétaire générale de la Ligue de l’enseignement ; Thomas Collet, membre du comité exécutif du CJD France ; Brigitte Deydier, cadre à l'Agence nationale du Sport ; Yves Grognou, directeur de l’Addap 13 ; Nicolas Hénard, président de la Fédération Française de Voile ; Stéphane Hengy, directeur de l’Élan sportif ; Nathalie Huet, membre du Conseil d’Administration de la Fédération Française de Badminton ; Marie Claude Jarrot, maire de Montceau-les-Mines, membre du comité directeur de l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité ; Didier Leprince, maire de Fontvannes, conseiller départemental de l’Aube, conseiller communautaire de Troyes Champagne Métropole, membre du comité directeur de l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité ; Véronique Moreira, présidente de l’USEP ; Jérome Saddier, vice-président délégué du Crédit coopératif, président d’ESS France, président de l’Avise ; Ryadh Sallem, fondateur et délégué général de CAPSAAA ; Éric Sanchez, directeur valorisation et initiatives sociales chez AG2R LA MONDIALE ; Jean-Pierre Siutat, président de la Fédération Française de Basketball ; Christian Valette, directeur général du Crédit agricole Nord de France ; Nicolas Verdon, délégué général de la Fédération Nationale Profession Sport et Loisirs.


Interview de Jean-Philippe Acensi, président de l’ANPSS

Comment est née cette association ? Qu’est-ce qui a motivé sa création ?

L’idée de départ a été de dire qu’il faut fédérer les acteurs qui s’engagent dans des actions d’insertion par le sport pour donner une autre dimension à ce champ d’activité. Nous avons réuni tous les acteurs concernés par la problématique (villes, fédérations, entreprises et associations) pour créer un espace de dialogue nouveau qui n’existe nulle part sur ce sujet pourtant crucial. Nous souhaitons porter collectivement une grande ambition pour la jeunesse par le sport à travers des actions fortes qui seront annoncées prochainement. Le sport ne sert pas qu’à faire des champions. La ministre des Sports a tout de suite
été partie prenante du projet en le jugeant prioritaire.

Qu’est-ce que la performance sociale du sport ? Quel est le constat de départ ?

J’ai passé plus de 25 ans au sein de l’Agence pour l’éducation par le sport, à valoriser des centaines d’acteurs, les pionniers de l’éducation par le sport, des acteurs de l’ombre qui réparent le pays par le sport. Par exemple, Stéphane Hengy, à Mulhouse, qui a monté le premier tiers lieux du sport et qui met en place des programmes pour la jeunesse de la ville ; ou Larbi Liferki à Roubaix, qui développe des projets pour la culture et l’insertion des jeunes via les pratiques urbaines. Le sport est pour moi l’un des champs d’innovation les plus important qui existent dans notre pays, il est innovant dans sa capacité à accompagner des jeunes dans leur parcours de vie, c’est une école magnifique sous-estimée. Le parcours sportif dans le sport amateur a une grande valeur, on apprend à se connaitre, à se fixer des objectifs, à travailler ensemble pour l’autre, à fabriquer du collectif. Mais un des gros problèmes est que ce parcours n’est pas ou peu financé ! Imaginez une école avec des professeurs bénévoles, ça ne tiendrait pas longtemps, eh bien c’est ce qui se passe dans le sport. Un club qui réunit plus de 800 adhérents est aussi important qu’un collège, il est un lieu d’apprentissage unique. Comme le dit Boris Cyrulnik, le sport amateur génère des qualités fortes, très utiles dans la vie d’adulte. Dans un autre espace, toutes les entreprises parlent du savoir être, le sport est sans doute la première école de savoir-être. Hélas, ce secteur fait face à une difficulté majeure : peu de gens connaissent les bons acteurs qui font des miracles dans nos villes. On en reste trop souvent à vanter les mérites des acteurs sans forcément les aider et les accompagner. Un des principaux défis est de faire des clubs amateurs ou des associations des acteurs de l’économie sociale et solidaire. Nous allons faire rapidement des propositions sur le sujet.

Quels sont les acteurs qui se distinguent sur la performance sociale du sport ?

Le projet du GIP 2023 qui va accueillir plus de 2 000 jeunes apprentis est très innovant dans sa capacité à profiter d’un grand évènement mondial pour insérer des jeunes, faire évoluer les clubs et créer une dynamique nouvelle. Le projet porté par 4 acteurs associatifs lauréats du PIC* (Élan sportif à Mulhouse, Parkours 59 à Roubaix, Unis vers le sport à Strasbourg, Évasion urbaine à Torcy) qui va suivre plus de 500 jeunes par an est typiquement ce que peut faire le sport en matière d’inclusion avec des éducateurs sportifs de très grande qualité. « La mer est à vous », projet porté par la Fédération Française de Voile, qui va former des jeunes sans diplômes sur des métiers de la mer sera sans doute un des grands projets portés par une fédération qui servira de modèle par la suite. Enfin, le projet porté par l’Agence pour l’éducation par le sport autour du métier de coach d’insertion des jeunes permettra à des milliers d’éducateurs de faire évoluer leur métier et d’accompagner vers l’emploi des jeunes qui en sont éloignés. Mais il y a partout en France un nombre considérable d’acteurs qui font des choses puissantes avec le sport.

Pourquoi avoir créé cette association nationale ?

Les acteurs sportifs locaux sont aujourd’hui pour beaucoup en difficulté avec peu de perspectives de changer de modèle, et le projet subventionné est de moins en moins tenable. Les éducateurs sportifs, qui sont la cheville ouvrière du club, vivent pour beaucoup dans la précarité, sans formation professionnelle, avec des salaires indignes de leur engagement, ce sont les aides-soignants du sport, qui sauvent des destins en étant eux même en galère. Il faudra complètement revoir leur modèle économique en trouvant des moyens nouveaux d’intervention. Le sport professionnel doit demain participer à ce grand projet. Il est indispensable d’agir vite en accompagnant ces acteurs de l’ombre qui s’engagent sur des enjeux prioritaires du pays comme l’insertion, la formation…. Ils n’ont pas de statuts, ils sont très mal payés, leur formation professionnelle n’existe pas, alors que ce sont parmi les meilleurs éducateurs du monde. Il est temps de retisser un lien fort avec le monde sportif professionnel qui s’est trop éloigné de ces acteurs clefs qui représentent la base même du sport. Par exemple, les champions pourraient être plus présents au côté des éducateurs, certains pourrait développer de grands programmes pour la jeunesse. Tout est à créer, tout est à écrire, ce qui ne s’écrit pas a peu de chance de se réaliser. Il y a aujourd’hui des opportunités importantes sur ce secteur, 20 millions d’euros viennent d’être attribués par le ministère du Travail sur des projets avec la Fédération Française de Voile, un consortium d’acteurs associatifs. La coupe du monde de rugby vient de lancer le projet « 2023 apprentis ». Le champ est ouvert, mais il faut maintenant un très gros travail.

Quels seront les premières missions de l’association ?

L’association vient d’être lancée, il faut créer une ambiance avec des gens engagés et motivés. Nous allons élargir le cercle des acteurs, lancer très rapidement un appel aux villes, entreprises, associations et fédérations, mais nous avons déjà beaucoup de demande. Nous allons également poursuivre le Tour de France de la performance sociale, dont la première étape a eu lieu à Roubaix en septembre. Cet été, nous réunirons une centaine d’acteurs pour définir la feuille de route de notre projet. Mais attendez-vous à des projets très ambitieux dans leur forme, et surtout pour construire un grand programme de la performance sociale du sport dans notre pays. On ne peut plus mégoter quand on parle d’éducation et d’insertions des jeunes.


Webinaire : découvrez les acteurs de la performance sociale du sport

Le 3 juin 2020, un webinaire a réuni différents acteurs qui œuvrent pour l'inclusion des jeunes avec l'association Elan sportif, association d'éducation par le sport à Mulhouse.
Acteurs associatifs, élus locaux, chefs d’entreprises, recruteurs et jeunes sportifs ont pu échanger autour de ces projets d’éducation et d’insertion par le sport les réponses que ceux- ci apportent à de nombreux enjeux de société.

Vous pouvez retrouver ce webinaire en replay sur
https://www.besport.com/event/5144223?tab=0&instance=4234320


APELS

L’Agence pour l’Education par le Sport est une organisation nationale d’inclusion par le sport destinée à la jeunesse peu ou pas diplômée. Elle permet à des jeunes talents issus des territoires oubliés d’être reconnus pour leurs compétences et « savoir être », de prendre en main leur avenir et d’accéder à l’emploi. Elle s’appuie sur un réseau national de 1000 clubs sportifs labélisés à travers toute la France pour leur action et leur engagement dans l’inclusion sociale par le sport. Elle accompagne le développement des compétences des coachs sportifs à l’inclusion professionnelle. Elle construit des programmes de formation innovants pour accompagner les jeunes à construire leur projet de vie, trouver leur voie professionnelle et accéder à l’emploi. Elle crée des partenariats avec les entreprises engagées à recruter autrement.

Retrouvez les sur leur site : https://educationparlesport.com/


Parkour59 est une association des haut-de-France qui forme, au travers de l'art du déplacement et du mouvement urbain, tous les publics au dépassement et à l'expression de soi. Si cette structure apparu en 2009 encourage et forme à des pratiques sportives ancrées dans la ville, elle développe aussi des activités culturelles et sportives, par la construction de spectacles et d'exhibitions, et des actions éducatives et d'insertions professionnelles, aidant chacun à prendre sa place de citoyen au sein des espaces publics.

Évasion Urbaine

Basée à Torcy (77), l’association Évasion Urbaine propose un encadrement structuré et de grande qualité aux jeunes vivants dans les quartiers. Ses compétences et son savoir-faire apportent des réponses concrètes aux problématiques sociales rencontrées par ces derniers, et participent, de ce fait, au développement de la politique municipale d’éducation par le sport de la ville. Le projet de l’association a trois volets :
– permettre à l’enfant, à l’adolescent ou à l’adulte d’exprimer ses potentiels ;
– développer les échanges culturels et sportifs au sein de notre association ;
– promouvoir la citoyenneté dans les territoires par ses actions. 
L’expertise de ses membres fondateurs dans les domaines de la socialisation, de l’insertion, de la prévention primaire, secondaire et tertiaire n’est plus à démontrer : leurs différentes actions engagées sont parvenues à mobiliser l’appui du Fond Interministériel de Prévention de la Délinquance (FIPD), du Commissariat Général de l’Egalité des Territoires (CGET) et leur inscription dans les réseaux professionnels de l’éducation spécialisée, de l’université Paris-Est ainsi que de l’Agence pour l’Education par le Sport (Apels) leur confèrent une approche sans cesse renouvelée et originale de la prise en compte des attentes et des besoins diversifiés et complexes des jeunes vivant dans les quartiers prioritaires.
Évasion Urbaine constitue une plus-value incontestable et incontournable dans les domaines du sport et de l’animation sociale


Usep

L’Union sportive de l’enseignement du premier degré est la fédération du sport scolaire à l’école publique. En 2019, elle réunissait 714 000 enfants, de la maternelle au CM2, et 41 500 adultes au sein de 8 200 associations d’école.

Son action s’inscrit dans celle de la Ligue de l’enseignement. Inspiré par l’idéal humaniste et laïque de ce grand mouvement d’éducation populaire, son projet éducatif se résume en une formule : « former des citoyens sportifs ».

À l’Usep, la pratique physique va de pair avec l’apprentissage des règles, le respect de l’autre et l’éducation à la santé. Organisées en temps scolaire et hors temps scolaire, les rencontres sportives se veulent également associatives. Les enfants sont invités à prendre des responsabilités et exercer les rôles d’organisateur, arbitre, reporter, etc. Ils participent aussi à la vie de l’association.

L’Usep a développé une pédagogie spécifique pour rendre les activités physiques et sportives accessibles à tous, y compris aux enfants en situation de handicap.    

https://usep.org/wp-content/uploads/2019/06/BEST-OF-USEP-web.mp4


CAPSAAA

CAP SAAA, Cap Sport Art Aventure Amitié, fondée en 1995, est une association agréée Education Populaire et Jeunesse et Sport, affiliée auprès des Fédérations Handisport et Sport Adapté.

CAP SAAA communique une vision énergique et positive du handicap avec un slogan fédérateur : Le droit à la différence contre l’indifférence.

Le sport, la culture, la citoyenneté et la solidarité sont au cœur de son projet grâce à son club dans lequel évolue des athlètes de tous niveaux au sein de 4 disciplines et ses actions de sensibilisation sur tout le territoire dans les centres de rééducation et auprès du grand public.

A travers EDUCAP CITY, CAP SAAA investit dans l’avenir, encourage l’engagement des jeunes et les aide à développer leur potentiel ! Pacifier les rapports entre les jeunes et les institutions, établir un dialogue entre les nouvelles générations et les acteurs de la ville dans laquelle ils se construisent, est un maillon fort pour les impliquer dans leur future vie citoyenne.

Leur actualité est à retrouver sur leur site : https://www.capsaaa.net/